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Rapports Webi :
10 Bonnes Pratiques

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WEBI : UNE AUBAINE POUR LES UTILISATEURS

Web Intelligence (WEBI) est un outil populaire de reporting SAP BusinessObjects en self-service qui simplifie la création de rapports ad-hoc (par tout utilisateur, même non-technique). Grâce à son interface visuelle et ses fonctions de glisser-déposer, WEBI permet la création de requêtes, de sélection d’éléments de données, d’ajout de filtres et de formatage de l’information. En d’autres termes, WEBI permet à l’utilisateur final d’accéder et d’analyser des données pour que les informations qui en ressortent, entraînent les meilleurs décisions et actions possibles.

 

WEBI : UN GÂCHIS POUR LES ADMINISTRATEURS

WEBI est un atout pour les utilisateurs finaux, mais il peut également être un fardeau pour les administrateurs Business Objects. Ceci car les rapports WEBI peuvent renvoyer énormément d’informations et consommer des ressources considérables sur les serveurs. Il existe plusieurs raisons pour que ces rapports WEBI soient surdimensionnés:

  • Certains utilisateurs veulent tout. Plus il y a de données, mieux c’est !
  • Certains utilisateurs découvrent seulement comment créer des rapports WEBI efficaces, optimisés, faciles à utiliser et tombent encore dans le piège des requêtes complexes.
  • D’autres utilisateurs se reposent sur les rapports WEBI pour l’extraction en masse de données depuis de nouveaux systèmes pour en alimenter d’anciens.

Des rapports WEBI à faible rendement peuvent mettre les environnements Business Objects à genoux sur des systèmes lents. Les utilisateurs ne peuvent pas se connecter, ou des rapports restent en suspens. Pour éviter le piège de la réaction à posteriori, les administrateurs BOBJ sont fortement encouragés à passer à un mode proactif et à expliquer aux utilisateurs comment concevoir les rapports WEBI pour assurer des performances optimales.

 

NOUVEAUX WEBIS : LES BONNES PRATIQUES

Nous avons assemblé les 10 bonnes pratiques suivantes afin de vous donner les moyens de créer des rapports WEBI, fournissant les informations désirées en limitant leur taille, et donc les conséquences imprévues. (Note : Les étapes décrites ici présupposent que toute base de données sous-jacente ait été correctement conçue, agrégée et optimisée).

1. Mettez en place des restrictions sur les univers en définissant les limites de lignes avec SAP BusinessObjects Universe Designer ou Information Design Tool.

2. Adaptez le dimensionnement de la récupération des tableaux (“Array fetch size”), lequel définit le nombre d’enregistrements à extraire de la base de données à chaque opération de récupération.

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3. Imposez l’utilisation d’invites (au minimum une invite par rapport) pour obliger les utilisateurs à filtrer les données.

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4. Filtrez les requêtes avant de filtrer les rapports. Les filtres de requêtes limitent la quantité de données renvoyée aux rapports BI. Les filtres de rapports réduisent davantage la taille des ensembles de données.

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5. Limitez le nombre de fournisseurs de données à cinq et le nombre d’onglets par rapport à dix au maximum.

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6. Créez des rapports de taille réduite et liez les ensemble via OpenDocument. Intégrez un rapport de résumé des données et offrez aux utilisateurs l’option de cliquer sur les liens OpenDocuments pour accéder aux rapports additionnels.

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7. Supprimez les variables inutilisées des rapports de business intelligence.

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8. Supprimez des requêtes les objets non-utilisés.

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9. Ne fusionnez pas les dimensions, si possible.

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10. Évitez les expressions “ForEach” et “ForAll” dans les formules, sauf lorsque cela est nécessaire. A la place, Spécifiez l’expression “In” dans les formules.

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ANCIENS WEBIS : REMÈDES ET SOLUTIONS

Les bonnes pratiques ne concernent pas uniquement les nouveaux rapports WEBI. Celles-ci s’appliquent également à l’existant pour en améliorer les performances. La première étape est la localisation des rapports à grand potentiel d’optimisation dans le logiciel de BI. 360Eyes est une solution 360Suite permettant l’identification des problèmes de rapports WEBI par l’extraction des métadonnées BusinessObjects. L’outil accède à la CMS, à l’Auditor, et au FileStore, en compilant les données dans un entrepôt de données et en affichant les informations essentielles grâce à plus de 80 WEBI prêts à l’usage.

Voici quelques façons d’identifier les problèmes liés aux rapports WEBI grâce à 360Eyes :

  • Définir un nombre raisonnable de lignes, et utiliser 360Eyes pour détecter les rapports contenant trop de lignes.
  • Définir un nombre raisonnable de fournisseurs de données, puis utiliser 360Eyes pour identifier les rapports faisant appel à trop de fournisseurs différents.
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  • Définir un nombre raisonnable d’onglets, et utiliser 360Eyes pour repérer les rapports contenant trop d’onglets.
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  • Utiliser 360Eyes pour localiser les variables et objets non-utilisés afin de les supprimer.
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  • Utiliser 360Eyes pour rechercher les rapports faisant usage des expressions de formule “ForEach” et “ForAll” dans les variables de rapports.
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Ce ne sont là que quelques exemples d’exploitation des métadonnées 360Eyes et de leur utilisation dans la détection des rapports WEBI non-conformes aux bonnes pratiques. L’amélioration des performances des rapports Web Intelligence, anciens comme nouveaux, réduit le fardeau des administrateurs Business Objects et améliore l’expérience des utilisateurs finaux grâce à un accroissement de la disponibilité et un meilleur fonctionnement de l’ensemble de la plateforme Business Intelligence.

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